Eric JARROT - eco plan

plans de maisons bioclimatiques et plans de permis de construire


compteur
visiteurs
Valid XHTML 1.0 Transitional

- Menu -


symbole home retour accueil . symbole news . symbole guestbook les clients donnent leur avis .

- Plan du site -




géothermie solaire
photovoltaïque
plain pied petit éolien plantes pour assainir la maison choix du terrain choix des matériaux contemporaine PAC géothermie PAC
aérothermie
puits Canadien Meilleur
chauffe-eau solaire
chauffage pellets
granulés de bois
Attention
formaldéhydes
RT-2012 détecteurs de fumée géothermie et forage bioconstruction maison à
énergie positive
maison polluée développement durable alarme incendie portrait robot maison BBC maison passive aspect financier maison en bois permis de construire liens utiles toxicité COV maison brique test lampes LEDs attaque de mérule meilleurs capteurs
solaires PV
RT-2005 électro-sensibles

Les plantes pour assainir votre maison

STOP aux maisons polluées !

Pour filtrer de façon efficace l’air confiné des capsules spatiales, la Nasa a eu l’idée de faire appel aux ressources de la nature. Ses études ont démontré que certaines plantes sont particulièrement gloutonnes pour absorber les polluants.

Le lierre filtre le formaldéhyde émis par la combustion du tabac ou les panneaux de bois agglomérés. Il s’attaque aussi au trichloréthylène qu’on trouve dans les peintures et vernis, par exemple.

chlorophytum

Le chlorophytum pour dépolluer votre maisonLe chlorophytum est sans doute la plante dépolluante la plus efficace. Il supprime le monoxyde de carbone et le formaldéhyde ; c'est la meilleure prévention contre leurs effets cancérigènes et contre les allergies. Placez-le un peu partout dans la maison, associé à d'autres plantes.

ficus

Le ficus pour dépolluer votre maisonLe ficus est le meilleur neutralisant du formaldéhyde, le formol, hautement cancérigène, utilisé pour assurer la tenue des rideaux, tissus d'ameublement, essuie-tout, nappes, vêtements sortant du pressing, etc., bref à peu près partout. Il est présent aussi dans les mousses d'isolation, la colle à moquette, les papiers d'emballages, les cartons...
Il faudrait placer des ficus un peu partout dans la maison !

dieffenbachia

Le dieffenbachia pour assainir votre maisonLe dieffenbachia, le spatiphyllum, l'aglycone, le faux-papyrus, le dracæna, le clivia, entre autres, contribuent aussi à dépolluer les intérieurs et toutes agrémentent la vie de chaque jour, au travail comme à la maison.

Á leur appétit pour les polluants, ces plantes ajoutent leur facilité d’entretien. Pour assainir l’air de sa maison, mieux vaut pourtant éviter de la transformer en serre tropicale, surtout les chambres à coucher. La moisissure qui se forme à la surface de la terre des plantes en pots est un régal pour les acariens. Les allergiques devront donc éviter la compagnie des plantes en pot.

philodendron

Le philodendron pour assainir votre maisonLe philodendron absorbe remarquablement le pentachlorophénol, ou PCP, omniprésent dans les produits de traitement du bois. Cette plante aux grandes feuilles dégage beaucoup de vapeur d'eau, ce qui évite l'assèchement de l'air dans les pièces chauffées.

Spathiphyllum

Le spatiphyllum pour assainir votre maison et luttez contre les formaldéhydes et monoxyde de carboneGrâce à la photosynthèse, les plantes vertes absorbent le gaz carbonique et le transforment en oxygène ; mais faute de lumière, cette opération d’épuration s’inverse la nuit, elles émettent alors du CO2, il est donc préférable de faire chambre à part et d’aérer, le matin, les pièces contenant des plantes vertes. Grâce aux ions négatifs qu’elles émettent, les plantes d’appartement ont aussi un effet apaisant et relaxant.

Les formaldéhydes c'est quoi?
Toxicité des matériaux formaldéhyde et composés organiques volatils
éco-construction
bio-construction bien choisir les matériaux


Dernière minute..

Plantes "dépolluantes" : une appellation prématurée

Alors que l’argument "plantes dépolluantes" fleurit dans la plupart des jardineries depuis déjà quelques années, l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) vient de remettre en cause cette appellation, jugeant l’argument largement prématuré.

en fait on joue sur les mots..

Une journée technique de l’OQAI organisée conjointement avec l'ADEME et la Faculté de Pharmacie de Lille, a permis de faire le point sur les recherches relatives à la capacité des plantes à améliorer la qualité de l'air intérieur dans le cadre du programme national PHYTAIR et d'établir une synthèse sur l'état actuel des connaissances et les questions en suspens. Explications

Le recours à certaines plantes pour améliorer la qualité de l’air intérieur fait actuellement l’objet d’une forte médiatisation et suscite une attente importante de la part du grand public. Plusieurs programmes de recherche français et étrangers ont montré que les plantes possédaient la faculté d’éliminer certains polluants présents dans l’air. Qu’en est-il de l’efficacité et de l’innocuité de ces dispositifs dans l’environnement intérieur ? L’Observatoire de la qualité de l'air intérieur (OQAI), la Faculté de Pharmacie de Lille et l’ADEME ont récemment fait le point sur les connaissances actuelles notamment acquises dans le cadre du programme français PHYTAIR lancé en 2004 à l’initiative de l’Ademe.

Efficacité des plantes en termes d'épuration

L'analyse de l'état actuel des recherches menées par les différents laboratoires en France et à l'étranger sur les capacités épuratrices des plantes permet de mettre en évidence un certain nombre de convergences sur les résultats obtenus. Des questions restent cependant encore en suspens. En l'état actuel des connaissances, les travaux de recherche menés permettent d'établir un premier consensus sur les propriétés épuratrices des plantes via notamment leurs substrats et d'identifier les questions qui restent encore en suspens.

Toutes les études montrent qu'en laboratoire, les plantes possèdent des capacités d'abattement avérées vis-à-vis de polluants gazeux tels que le monoxyde de carbone, les COV et le formaldéhyde, par exemple. Ces études en enceintes expérimentales sont réalisées à des concentrations supérieures à celles rencontrées dans l'air intérieur, sur des substances seules et pendant des durées limitées. Il apparaît que l'ensemble substrat/racine/plante possède une action plus efficace que la plante (feuille) seule, grâce aux micro-organismes du sol dont la présence est largement entretenue par les végétaux eux-mêmes.

Toutefois, les rendements d'épuration observés lors de l'utilisation de plantes en pot dans des espaces réels restent faibles, ne permettant pas une épuration efficace des volumes d'air des bâtiments. Les dispositifs « dynamiques », basés sur le passage forcé de l'air pollué à travers le substrat des plantes (systèmes de bio-filtration) semblent les plus prometteurs.


Encore beaucoup de questions en suspens

À l'heure actuelle, il reste difficile de dimensionner le nombre de plantes ou de systèmes dynamiques de biofiltration au mètre carré nécessaires à l'élimination efficace des polluants dans une pièce. Le programme français PHYTAIR à l'échéance de la phase 3, ainsi que les recherches en cours aux Etats-Unis, permettront d'apporter des réponses sur ces points. Une évaluation normalisée de l'efficacité et de l'innocuité des systèmes de phyto-remédiation est à mettre en place comme pour tous les types de systèmes proposés pour assainir l'air intérieur. Une norme AFNOR est actuellement en préparation en ce sens pour les épurateurs d'air autonomes pour applications tertiaires et résidentielles (XP B44-200).

La maintenance des épurateurs d'air est capitale afin de conserver leur niveau de performance initiale. Elle demeure néanmoins un réel problème sur le plan pratique. Ces questionnements se posent également pour les systèmes de bio-filtration. L'éventuelle contribution des plantes elles-mêmes aux émissions de polluants à l'intérieur des locaux est encore peu étudiée. La biosurveillance végétale, c'est-à-dire l'utilisation des effets des polluants observés sur les plantes pour évaluer la toxicité de l'air, est un outil prometteur à développer dans le domaine de l'air intérieur. Elle pourrait constituer un indicateur de la qualité de l'air intérieur, en complément de l'utilisation des éventuelles propriétés épuratrices des plantes.

En résumé, les plantes pour assainir l'air?

Oui.. il faut vivre avec les plantes dans un environnement le plus naturel possible et la ventilation des locaux pour votre bien-être et votre équilibre naturel, à l'heure ou certains prônent l'étanchéïté absolue des maisons, je rappellerai que l'air doit être renouvelé d'un volume par heure en moyenne... et que la meilleure solution est, et restera le puits canadien !

Puits canadien bien ventiler pour un habitat sain

eco-plan-search
Votre espace de recherche personnalisée



retour en haut de la page




Solaire thermique bâtiment basse consommation solaire photovoltaïque
meilleur chauffe-eau solaire maison plain pied les géothermies
choisir son terrain pour construire maison en autoconstruction géothermie par forage
sécurité des installations photovoltaiques géothermie capteurs horizontaux PAC aérothermie
capteurs solaires hybrides puits canadien alarme intrusion
chauffage à granulés bois actualité bâtiment maison en brique
chauffe-eau solaire aménagement combles perdus maison et bio-construction
éolienne domestique calcul SHON électro-sensibles
maison polluée formaldéhyde maison BBC aspect financier construction
mérule maison passive permis de construire
maison sur sous-sol construire en zone sismique le développement durable
les liens utiles détecteurs de fumée alarme incendie les plantes pour assainir la maison
HQE et BBC maison en bois COV RT-2005


Copyright © 2005 - Eric JARROT - eco plan - Tous droits réservés.

mots cle ici : haute saône, franche-comté, France, maison, plan, maison passive, plan de maison, autoconstruction maison, plans de maison plain pied, maison plain pied, photo maison, image maison, construire maison, maison traditionnelle, maison contemporaine, maison solaire, maison énergie positive, maison capteurs solaires, maison énergie passive